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La marque : un billet de Tiburce Adagbè

On n’a pas besoin de l’aimer pour l’admettre. Patrice Talon a imposé son sens personnel du beau aux Béninois, même si souvent c’est avec de douloureux coups de pied dans les derrières. Prenez par exemple le défilé d’hier. Le décor était sublime. Au point où sur certaines images , on ne se croirait plus dans ce bon vieux Bénin.

Passons aux troupes : il n’y a plus de douaniers gras, bedonnant et fessus ni de policiers ou policières obèses qui défilent en sueur, le souffle court et la langue pendante. Les treillis sont neufs et frais. Voilà pour ce qui est visible. L’essentiel étant invisible, l’actuel locataire de la Marina a encore quelques mois pour tenter de cauteriser les plaies purulentes dans certains cœurs. Le temps est parti.

Tiburce

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